Helen Greenwood


Chaque seconde quelqu'un meurt, je voudrais cesser le temps pour ne pas te perdre.

This is the story of my life

Je m'appelle Helen Greenwood, je suis l'ainée de deux fille. Ma soeur à exactement 12 mois jours pour jours de différence avec moi. Nous avons grandi ensemble et nous avons été les meilleures amies du monde en plus de soeur. Nous vivions dans une famille que les autres se plaisent à appeler "Famille de bourgeois". Nous avions des vêtements griffés, nous devions être polie, toujours souriante, bien assise, suivre les cours de bienséance les week-end, rendre visite aux vielles tantes et vieux oncles qui parlent en ce donnant un accent Anglais d'Angleterre pour paraitre encore plus hautain et nous devions aller à l'église tout les dimanches, faire sa prière avant de dormir et apprendre les psaumes pour les cours de catéchisme. Ne chercher pas je suis vraiment née en 1977, mais mes parents tenaient les traditions 1940. J'étais une bonne élève et j'obtenais de bonne note dans tout, il m'arrivait de sortir par la fenêtre et de faire un mannequin d'oreiller pour avoir le droit d'aller dans les fêtes avec les amies. Bref, j'ai eu une belle enfance, des parents assez stricte, mais les punitions étaient faible. Jamais ils n'auraient levé la main sur ma soeur ou moi. Pile avant l'inscription du lycée, papa et maman décidèrent de se séparer pour cause domestique, nous avaient-ils dit. C'est plus tard que je compris que c'était papa qui s'envoyait en l'air avec la domestique. Judy resta avec maman à New-York et moi je partis avec papa et sa nouvelle épouse enceinte jusqu'aux oreilles à Louisville. Ma vie changea du tout au tout. Je commençai une passe un peu plus rebelle, je fumais la cigarette,je buvais la bière à même la bouteille (oh mon dieu si maman m'avait vu.)J'étais nouvelle et je devais faire ma place, mais tout ce style que je me donnais ne collait pas avec mon physique de poupée de porcelaine. C'est peu de temps après la rentrée des cours que je commençai ma relation avec Jeffrey Gibson. Y avait pas à dire on était les inséparables. C'était pour le voir lui que je quittais par la fenêtre maintenant, nous allions faire du camping à la belle étoile dans le jardin d'un vieux riche toujours absent.Plus tard nous emménageâmes ensemble, une jolie maison avec un terrain verdoyant, chacun nos voitures, nos petits boulots, tout allait pour le mieux, jusqu'à ce que Jeffrey m'annonce qu'il allait s'enrôler dans l'armée. J'étais pas tellement en faveur de se choix, mais je connaissais les histoires de sa famille dans se milieu et le laissai partir. C'était insoutenable comme vie, chaque matin j'avais peur de me faire réveiller par deux officier m'annonçant qu'il était mort. C'était pareille à chaque réveille, j'avais toujours aussi peur, jusqu'au matin où j'ouvris les yeux et qu'il était là au pied du lit avec un sourire radieux,dans son bel uniforme. Il posa son genou au sol et mon coeur cessa de battre avant qu'un grand OUI! qui résonnait dans la chambre, sorte de ma bouche. Son départ par la suite me secoua encore, mais l'espace entre les permissions me paru plus courte, parce que je préparais le mariage, que nous célébrâmes près d'un an plus tard. Le temps continua de passé et Jeff continuait de partir pour servir son pays. Près d'un an après il eu une permission spécial pour assister à l'enterrement de son grand-père et c'est pile à ce moment que j'appris que j'étais enceinte. À ce moment là, les départs de mon mari m'affectait beaucoup plus, je voulais pas que notre fils connaisse son père que par carte postal. Il était là pour l'accouchement, mais manqua ses deux premiers anniversaires. Notre couple ressemblait plus au couple heureux que nous avions été. Lorsqu'il était là, nous passions la plus part de notre temps à se quereller, à remettre sur le tapis ses absences prolongé. De mon côté je travaillais toujours à la caserne de pompier comme réceptionniste, je voyais les femmes aux party de bureau avec leur sourire à se promener fièrement au bras de leur homme, alors que moi j'y allait toujours seul. La permission suivante je fis revenir Jeffrey pour de bon, mais je le voyais malheureux, nous ne faisions plus l'amour et quand il me touchait je feignais le mal de tête ou la fatigue, l'amour ni était plus. Par-dessus le marché un des pompiers ne me laissait pas indifférente et je voyais la possibilité d'avoir une vie stable avec un homme présent. Je demandai le divorce peu de temps après et j'obtins la garde de Noah. Je commençai à fréquenter David plus sérieusement et il y a environ 1 an nous emménageâmes ensemble. Noah avait son père en adoration et malgré que c'était un petit garçon bien élever, je voyais bien qu'il n'aimait pas David. Il aurait voulu que son père et moi on recolle les morceaux. Au fil du temps l'animosité entre Jeff et moi se dissipa, il redevint celui dont j'étais tomber amoureuse autrefois, mais .... Il y avait toujours un mais ...

In Your Head & When I look at you

Je n'ai rien d'exceptionnelle, je parait bien et je prend soin de moi. J'ai les cheveux blond semi-bouclé qui ont tendance à faire place aux frisottis au moindre signe d'humidité , les yeux bleu océan avec des parcelle de bleu azure, contourner par une épaisse frange de cil brun foncé et une peau assez blanchâtre qui à tendance à rougeoyer au soleil. Quand j'étais plus jeune, maman disait que je lui faisait penser à une petite poupée de porcelaine. Avec l'âge, j'ai développé des formes généreuses de femme fatal, sans pour autant me servir d'arme.


Je suis assez sensible de nature, fidèle et aimante, je me dévoue entièrement quand j'entreprends quelque chose. J'ai un seuil de tolérance à ne pas franchir comme tout le monde, sinon je suis capable de me fâcher aussi. Je suis une personne sérieuse qui à fait sa vie de jeunesse quand c'était le temps et qui aujourd'hui vis sa vie de femme et de maman. Mon fils est ce que j'ai de plus précieux au monde, il compte énormément pour moi. Je suis assez sociable quoi que réservé, donc je fais rarement les premiers pas.