Avec la veine du pire des cocu que j'étais, nous arrivâmes dans sa chambre sans aucunes anicroche. J'entrais en premier puis, elle verrouilla derrière nous. S'assoyant sur son lit, elle me regarda pendant un moment avec un petit sourire de fillette. J'eus un petit sourire en coin.

Y a un truc que je comprends pas, tu sais que ta femme te trompe, tu fais pareille et elle doit le savoir aussi, pourquoi vous restais ensemble? C'est bizarre comme relation...

Avais-je seulement le goût d'en parler. Pas vraiment. Mais, je lui dit tout de même un peu plus froidement.

En fait, nous sommes un couple plutôt ... ouvert d'esprit et dans son cas ... ouvert de cuisse. Y à rien à comprendre dans tout ça. Elle à voulut être ma femme pour le meilleur et pour le pire et c'est ce qu'elle à. Et puis, elle à son utilité tu sais.

Finis-je en relevant les yeux vers les siens en un regard un peu malsain.

Dis tu crois que je pourrais sortir d'ici bientôt? Je veux dire si tu me trouves un traitement qui me correspond je pourrais vivre dehors ?

M'assoyant sur le lit à ses côtés, je posais ma mallette sur mes genoux et quand je l'entendis me demander ça. Je suspendis mon geste et rivais mon regard dans le sien, impitoyable et froid, je répondis la stricte vérité de ce que je savais sur cet endroit.

Si je crois ... non. Je ne crois absolument pas tu sais. Ce que je vais te dire va probablement te foutre en rogne et personne ne le sait réellement ici mais, tous, s'en doute. Ton problème est plus mental. C'est uniquement pour cette raison qu'ils te bourrent de Placebo de cette façon. La seule solution à ton problème, c'est toi-même. Seule toi peux, et je dis bien ... peux ... le régler. Ici, se sera presque impossible car, ils ne veulent pas réellement que quiconque sorte. Si tu vois ce que je veux dire.

Bien sur, je n'entrais pas dans les détails mais, il y avait plein d'inside à tout ça. Les médecins gentils qui travaillaient strictement pour rien et n'avaient aucun réel pouvoir. Celui qui détenait la clé de tous. C'était le Directeur Hanson et la seule fois que je l'avais vu faire sortir un patient quelconque, c'était les pieds devant, dans une boîte en bois. Ici, en tout cas, à ce que j'avais vu depuis 12 ans. Tous entraient mais, pas beaucoup en sortait. Bien sur, il y avait les ... pas normal qui étaient un peu plus ... rusés mais, même eux, finissaient toujours par revenir. D'une façon ou d'une autre. Reprenant mon geste, j'ouvris ma mallette et je regardais à l'intérieur.

Au faite merci Mike pour ne pas m'avoir laissé tombé.... T'es un type chouette!

Elle m'avait dit ça sur un ton plutôt naïf. J'en revenais simplement pas. Après tout ce que je venais de lui dire. Ça semblait lui avoir passer par dessus la tête. Je murmurais, étonné.

Tout le plaisir est pour moi ma mignonne. Je t'aurais pas laisser là de toute façon.

T'es trop un chouette coup...

J'eus un petit sourire à cette pensée. Il était vrai qu'elle était plutôt bonne même si elle se défendait pas assez. Elle avait quand même manquer d'un peu de ... piment. Mais, quoi demander de plus d'un si petit brin de femme inoffensif.

Dis tu viendras me rendre visite quand tu viens la prochaine fois?

Sans relever les yeux de mon index de médicament, je lui répondit évasivement.

Ouais ... si tu veux. Sinon, j'aurais pas le choix pour faire livraison.

Trouvant le médicament qui remplaçait un peu ce qu'elle m'avait demander. J'en mémorisais le nom particulier puis, je vérifiais les pots. Il n'y avait rien. Je me relevais donc tout en refermant ma mallette et je lui dit.

J'en ai pas ici mais, je crois savoir où en trouver exactement, je reviens dans un instant. Soit sage ...

Je sortis de la chambre et me dirigeais dans l'infirmerie. Elle était fermer à clé. Regardant un peu tout autour pour voir s'il y avait quelqu'un, je sortis une petite carte de plastique de mes poches et je l'insérait entre la porte et le cadrage. Repoussant le loquet. Je l'ouvris ensuite comme si de rien n'étais. Un garde passa et un médecin. Ils me connaissaient tout deux. Je les saluais de la tête et m'introduisit à l'intérieur ensuite. Je savais à peu près où se trouvais ce que je cherchais donc, je pris rapidement les petites bouteilles puis, les enfouies dans mes poches. Je retournais ensuite à la chambre d'Helena sans oublier de verrouiller l'infirmerie à nouveau. Entrant dans la chambre, elle était encore assise sur son lit à m'attendre bien sagement. Je lâchais ironiquement en lui envoyant un petit baiser.

Sage fille. T'auras une petite gâterie pour ça...

Ce qui impliquait entre les lignes, ce que j'avais entre les deux pattes qui iraient entre les deux siennes.

Alors t'as quoi pour moi?

Ayant un petit sourire avenant, je sortis les trois petites bouteilles de ma poche puis, lui remuant sous le nez, je dis.

Auparavant, parlons plutôt paiement.

Ce qui renfrogna son enthousiasme quelque peu. Avec un petit rire, je haussais un sourcil et dis d'un ton pervers tout en la déshabillant à nouveau des yeux.

Tu sais, tu me plaît ... beaucoup même. Alors, si t'accepterais quelques ... petites ... sorties en ma compagnie ... quand tu le peux, dehors ... je pourrais probablement ... t'en donner assez régulièrement. Mais, vu que j'aime les femmes au naturel, j'exige que ... t'en prenne pas en ma présence.

Finis-je un peu conspirateur tout en me léchant les lèvres à l'idée de profiter de se petit corps merveilleux à de nombreuses reprises encore.

T'inquiète. Ce sera pas tout le temps pour te baiser tu sais. Enfin ... on verras.

Elle semblait daccord. Sans lui tendre les bouteilles, je retrouvais ma place à ses côtés et je lui expliquait le plus sérieusement du monde.

Bon, ouvre grand tes oreilles ma belle et incruste dans ton cerveau ce que je vais te dire.

Elle acquis de la tête tout en fixant avidement les deux bouteilles.

Ce produit qui est tout naturel est l'une des drogues les plus puissantes et les plus dangereuses mondialement. C'est un calmant extra puissant et il peut tuer très rapidement à trop forte dose. Mais, si tu fais correctement, ce que je vais te dire, tu planeras comme jamais tu n'as planer de ta courte vie. Il ne créer pas réellement de dépendance physique mais, mentale et très puissante. Tu dois le savoir que si tu en prends, tu aurais plus de difficulté à régler ton ... petit problème.

Le liquide transparent. C'était ce qu'ils se servaient ici même pour capturer les êtres comme moi. Ils l'insérait fortement diluer dans de petites fléchettes qu'ils tiraient avec leurs fusils pour nous endormir et nous transporter ici. Parfois, ils s'en servaient même avec les êtres parfaitement normaux qui étaient les plus fous ou les plus atteints mentalement. Enfin, c'était un produit à prendre très au sérieux. Maintenant. La posologie.

Pour ce qui est de la quantité. Pas plus d'une toute petite goute à la fois. Je suis très sérieux. Sinon, tu risques de devenir raide en peu de temps et je crois pas que tu aime ce qui se passera avant. Tu va te décharger tout le corps par tout les orifices. C'est simple. Ce que je te conseillerais de faire est de simplement y tremper ton doigt à UNE SEULE REPRISE et de te le frotter sous la langue et sur les gencives. L'effet est assez rapide.

Elle semblait obnubilée par ce que je lui disait. Je lui tendit alors les bouteilles en lui demandant le plus sérieusement du monde.

N'oublie surtout pas tout ce que je viens de te dire. C'est très important. Question de vie ou de mort. Et ... je tiens à dire que si tu faisais une connerie, ce serait du vrai ...

Je passais alors mon doigts de la base de son cou, doucement, et je descendis lentement, effleurant le bout de ses mamelons jusqu'à son sexe.

gaspillage ...

Je ne pu m'empêcher de questionner Mike sur son couple, c'était étrange comme relation, ils se trompaient mutuellement et ils étaient tout les deux au courant, à ça il m'avait tout simplement répondu qu'elle avait voulu l'avoir pour mari pour le meilleur et le pire et que c'est ce qu'elle avait, j'avais senti à son ton qu'il ne souhaitait pas vraiment en parler, je décidai donc de ne pas continuer sur ce sujet et lui demandai si quand il m'aurait trouvé un traitement efficace je pourrais sortir d'ici. Il s'immobilisa un instant sa mallette sur les genoux qu'il s'apprêtait à ouvrir, son regard, qui ne présageait rien de bon, rivé dans le mien, me fit regretté cette question.

Si je crois ... non. Je ne crois absolument pas tu sais. Ce que je vais te dire va probablement te foutre en rogne et personne ne le sait réellement ici mais, tous, s'en doute. Ton problème est plus mental. C'est uniquement pour cette raison qu'ils te bourrent de Placebo de cette façon. La seule solution à ton problème, c'est toi-même. Seule toi peux, et je dis bien ... peux ... le régler. Ici, se sera presque impossible car, ils ne veulent pas réellement que quiconque sorte. Si tu vois ce que je veux dire

Moi j'y croyais pas, Mike me trouverait un traitement qui m'aidera et tout le monde verra mon évolution, je pourrais vivre de nouveau à l'extérieur avec mon père et reprendre une vie normal, même le doc' Scott y croyait, certes il m'avait dit que ça ne serait pas pour tout de suite, mais que c'était possible. Mike ouvris sa mallette et regarda ce qu'il avait dedans.

Au faite merci Mike pour ne pas m'avoir laissé tombé.... T'es un type chouette!

Il avait prit soin de moi et c'était montré tendre dans l'isolement, je l'avait mal jugé en craignant qu'il me laisse après avoir couhé avec moi mais en faite non, en plus d'être sexy il était gentil, elle avait de la chance sa femme.

Tout le plaisir est pour moi ma mignonne. Je t'aurais pas laisser là de toute façon, me murmura t-il.

Je souris, j'aimais bien sa façon de me donner des petits surnoms sympa, bon ok peut-être qu'il le faisait avec tout le monde, mais je m'en foutais. Je lui jetai un coup d'oeil discret, il souriait, il était beau!
Je lui demandai ensuite s'il viendrait me voir la prochaine fois qu'il serait au centre. Il était concentré dans ses médoc' mais il me répondit tout de même que oui, j'en demandais pas plus. Je le vis sortir un pot vide de sa mallette puis il le rangea avant de me dire qu'il revenait dans un instant car il avait pas les médoc' avec lui mais qu'il savait où en trouver. Je profitai de son absence pour glissai mon numéro sur un bout de papier dans la poche de sa veste, je retournai ensuite sur mon lit en attendant son retour qui ne tarda pas, en entrant dans ma chambre il me lança que j'étais une sage fille et que j'aurais une gâterie pour me féliciter, tout en m'envoyant un bisous. Il avait dit ça pour plaisanter mais moi c'était quand il voulait, bon j'espérais juste que la prochaine sa sera un peu moins barbare mais j'avais hâte de remettre sa avec lui, qu'il me fasse l'amour et ensuite qu'on profite de moment tendre à deux. Je lui demandai ce qu'il avait pour moi, parce que j'étais presser de savoir si il avait un truc qui me ferait planer. Il sortis trois petites bouteilles et les secoua devant moi tout en souriant, moi je les regardai un peu surprise, elles étaient vraiment petites, j'allai pas pouvoir tenir un jour avec ça. Je voulu prendre les minis bouteilles mais il leva le bras pour m'empêcher de les attraper, il rétorqua que nous devons parler paiement avant toute chose, je fis une moue déçue et attendis qu'il pose ses conditions, il haussa les sourcils puis afficha un sourire pervers avant de me dévorer des yeux.

Tu sais, tu me plaît ... beaucoup même. Alors, si t'accepterais quelques ... petites ... sorties en ma compagnie ... quand tu le peux, dehors ... je pourrais probablement ... t'en donner assez régulièrement. Mais, vu que j'aime les femmes au naturel, j'exige que ... t'en prenne pas en ma présence.

Je souris, tout en rougissant, il avait dit que je lui plaisait et qu'il voulait me voir en dehors du centre, c'était vraiment cool, peut-être qu'il avait flashé sur moi.

T'inquiète. Ce sera pas tout le temps pour te baiser tu sais. Enfin ... on verras.

J'te préviens j'suis pas du genre à regarder l'autre dans le blanc des yeux, garde ça pour ta femme, dis je pour plaisanter.

Je disais ça mais j'étais super contente qu'il me dise ça, ça prouvait vraiment qu'il s'intéressait à moi pour autre chose que du sexe, peut-être que j'étais sur le point de commencer une histoire avec un homme marié, cette idée m'excitai vraiment. Mike prit place à mes coté tout en gardant les bouteilles dans sa main. Il avait prit un air sérieux en me disant d'ouvrir grand mes oreilles et d'imprimer ce qu'il allait me dire. Je fis "oui" de la tête tout en regardant les bouteilles, qu'est ce qu'il fallait que je sache de si important sur ça a part qu'elle était trop petite.

Ce produit qui est tout naturel est l'une des drogues les plus puissantes et les plus dangereuses mondialement. C'est un calmant extra puissant et il peut tuer très rapidement à trop forte dose. Mais, si tu fais correctement, ce que je vais te dire, tu planeras comme jamais tu n'as planer de ta courte vie. Il ne créer pas réellement de dépendance physique mais, mentale et très puissante. Tu dois le savoir que si tu en prends, tu aurais plus de difficulté à régler ton ... petit problème.

J'étais un peu étonnée, ce "truc" là était une des drogues les plus puissantes et dangereuses du monde... Mike savait de quoi il parlait mais ça m'étonnait, enfin il avait dit que je planerais comme jamais, ça devait être cool même si ça semblait dangereux, puis peut-être qu'il exagérait la chose pour que je ne prenne pas ça à la rigolade.

Pour ce qui est de la quantité. Pas plus d'une toute petite goute à la fois. Je suis très sérieux. Sinon, tu risques de devenir raide en peu de temps et je crois pas que tu aime ce qui se passera avant. Tu va te décharger tout le corps par tout les orifices. C'est simple. Ce que je te conseillerais de faire est de simplement y tremper ton doigt à UNE SEULE REPRISE et de te le frotter sous la langue et sur les gencives. L'effet est assez rapide.

Je buvais ses paroles, j'avais retenue le plus important "j'y trempe le doigt une seule fois et je le frotte sous ma langue et sur les gencives", ça me faisait un peu peur quand même, je voulais pas devenir raide morte et de me vider par mes orifices...

Ok une seule fois et je frotte sous la langue et sur les gencives, dis je comme pour récapituler moi même.

N'oublie surtout pas tout ce que je viens de te dire. C'est très important. Question de vie ou de mort. Et ... je tiens à dire que si tu faisais une connerie, ce serait du vrai ...

Il passa alors son doigts sur mon cou, et descendit doucement en effleurant mes tétons jusqu'à mon intimité.

gaspillage ...

Je rentrais dans son jeu.

Ne t'en fait pas j'en ai pas encore fini avec toi, lui dis je avec un regard de chaudasse tout en passant ma main sur son entre jambes en remontant vers son torse longeant son bras et je m'emparai des petites bouteilles qu'il avait dans la main, puis je me redressai en les regardant.

Tu consommes rien de ce que tu fais? Avec tout ce que t'as, tu pourrais planer à longueur de journée.

Je ne pensais pas qu'il prenait quoi que ce soit de façon régulière, mais sait on jamais. Puis à ce moment là un truc me passa par la tête.

JE tiens pas à ce que ta femme soit au courant de quoi que ce soit, elle pourrait décider de me mener la vie dur sinon, et je tiens pas à l'avoir sur le dos, donc quand on se revoit faudra être discret.

Comme des ados' nous devrons nous voir en cachette, et peut-être que tout cela se finira en amour impossible, je ne pourrais jamais présenter Mike à mon père, il s'opposerait à notre union à cause de l'âge, et on pourrait pas vivre ensemble à cause de sa femme... Je soupirai en pensant à tout cela, puis sentis mon ventre crier famine.

Bordel j'ai la dalle, je suis supposé être encore en isolement, tu crois que ça craint si je demande à une infirmière pour prendre mon repas? demandais je à Mike.

L'heure du diné était passé, mais ils allaient pas me laisser mourir de faim non plus, le problème était que j'avais quelques marques au visage et que je ne savais pas comment les expliquer si on me questionnait. Mike me répondit puis j'eus comme une pulsion, un geste inattendu, je l'embrassai, mais pas un baiser langoureux, c'était plutôt tendre, comme quand on embrasse quelqu'un pour qui on a des sentiments.

Tu sais toi aussi tu me plait, lui murmurais je en me éloignant un peu mon visage du sien.

Je ne savais pas si j'avais fait une erreur en agissant ainsi, je voulait pas qu'il attrape peur, mais il m'avait quand même fait des avances avec ses surnoms, en me disant que j'étais belle, bien foutu, en prenant soin de moi dans l'isolement, en voulant me voir en dehors et pas que pour baiser, et en disant que je lui plait, je voulais qu'il sache qu'il me plaisait aussi.

Je sais que j'ai été longue à te répondre et je suis dsl, tu peux mettre fin au post si tu veux je comprendrais, puis en plus c'est pas le top ce que j'ai fait donc bon..

T'en fait pas ma petite, je compatis avec toi et je comprends parfaitement ... stress pas avec ça, surtout pas avec moi ... il m'arrive souvent d'avoir d'autre chose en tête et d'autre trucs à faire moi aussi ... Je le trouve sensass ton poste en passant et j'y mettrais pas fin a moins que ce ne soit ce que tu souhaites ...

Loup

Bah non non moi veux pas mettre fin au post.

Elena me répondit de la même façon perverse. Je savais qu'elle feignait pourtant. Avec la raclée que je venais de lui mettre, elle pouvait pas faire autrement pour quelques temps. Elle appuya ses paroles d'un geste tout en me glissant les doigts de la fourche jusqu'au torse.

Ne t'en fait pas j'en ai pas encore fini avec toi.

Elle finit d'un geste leste et rapide tout en s'emparant de la drogue que j'avais dans la main. J'eus un petit sourire en ajoutant, mystérieux.

On verras ma coquine, on verras...

Elle se redressa, le regard rivé sur les bouteilles qu'elle tenait en main.

Tu consommes rien de ce que tu fais? Avec tout ce que t'as, tu pourrais planer à longueur de journée.

Nouveau sourire en coin à son adresse.

Nah ... j'ai d'autres façons de planer.

J'aimais bien me battre. J'étais un violent compulsif. Me fallait toute ma tête pour ça. L'adrénaline était mon top. J'y était complètement accroc. Je pouvais même en perdre la tête parfois. Faire des combines énormes et en voire le résultat qui déstabilisait parfois, des société entière. C'était plaisant. J'étais un magouilleur à fond de l'âme, un sans coeur véritable, un pervers, un sadique. J'avais bien des défauts que j'adorais. J'avais aucun scrupule. Surtout, j'étais un fin manipulateur.

JE tiens pas à ce que ta femme soit au courant de quoi que ce soit, elle pourrait décider de me mener la vie dur sinon, et je tiens pas à l'avoir sur le dos, donc quand on se revoit faudra être discret.

Elle semblait totalement sérieuse en me demandant ça. Moi, j'en avais absolument rien à foutre qu'elle le sache. Je balayais la demande d'Elena d'un geste de la main et répondit avec un petit sourire aux lèvres.

T'inquiète, elle en saura jamais rien. Ni vue, ni connue. J'ai aucun problème avec ça.

Elle soupira. Probablement de soulagement. Pourquoi donc ? J'en avais pas la moindre foutue idée. À nouveau, elle changea de sujet.

Bordel j'ai la dalle, je suis supposé être encore en isolement, tu crois que ça craint si je demande à une infirmière pour prendre mon repas?

Ça craint ? Encore un langage d'adolescente ? Je me relevais du lit tout en refermant ma mallette.

Non, je crois que y à pas de problème mais, j'ai une meilleure idée.

Je l'observais bien comme il fallait, avec un regard perçant. Elle pouvait facilement passer pour ma fille. Je pinçais les lèvres et arrivais pour prendre la parole lorsqu'elle s'approcha de moi rapidement et m'embrassa.... tendrement. Un geste un peu ... déplacé. Décollant sa bouche lentement de la mienne, elle me murmura.

Tu sais toi aussi tu me plait.

J'eus un mince sourire charmeur. Elle était en train de tomber amoureuse de moi. Ça faisait bien mon affaire. Même si ce n'était aucunement réciproque. Pour moi, toute les femmes à part la mienne, n'étaient qu'objets et terrain de jeux. Avec son petit corps de déesse, elle attiserai très volontier et même bien plus que ça, la jalousie de ma femme. Moi et ma femme, nous étions en quelques sortes dans une âpre compétition de jalousie. Je glissais alors ma main doucement dans les cheveux d'Elena.

Tu veux manger quoi petite ?

J'avais mon idée derrière la tête. Sournois. J'avais le goût de sortir de cet endroit lugubre en bonne compagnie et ... justement, elle était très jolie.

Ça te brancherais une petite sortie. Là, maintenant ? Nous sommes vendredi justement et je crois que t'a le droit à une petite gâterie non ???

Elle semblait extrêmement curieuse et excitée. Comme une gamine. C'était très louche. Mais, j'en avais absolument rien à foutre. Je commençais à avoir faim à mon tour car, la petite avait bien tirée sur ma réserve d'énergie un peu plus tôt. Elle semblait pourtant peu sure d'elle, ou bien de mon idée. Je dis d'un air conspirateur.

T'en fait pas, le Directeur est un de mes bons potes. Je peux faire un peu ce que je veux entre ces murs. Tant que je lui rendent des comptes. Y à pas de problème et puis, tu seras entre bonne main. Entre excellente mains, devrai-je dire.

J'enfilais mon veston et prenant mon portable, j'envoyais un message à Donovan.

Avant par contre, nous devrions au moins nous laver pour que nous soyons ... sortable. Alors, nous allons faire une petite escapade.

Je reçus rapidement une réponse qui disait en gros de faire attention à cette jeune fille. Mais, que je pouvais bien la sortir pour quelques heures. Ce qui me fit sourire.

Mais, c'est à elle d'être prudente ...

Pensai-je tout en regardant Elena.

Alors, voyons voir ce que tu as à te mettre sur le dos pour une petite soirée tranquille ?

Elle n'avait pas grand chose. Vraiment pas grand chose. Avec un petit ton admiratif tout en la déshabillant des yeux je dis.

Tu serais magnifique dans une petite robe rouge avec ... un déshabiller tout noir...

Je voyais exactement ce qu'elle allait porter pour ce soir. Ce qu'elle n'aurait pas le choix de porter et de faire, sinon, elle disparaîtrait ...

Quand je demandai à Mike si il consommait ses propres drogues il me répondit que non, que c'était autre chose qui le faisait planer, je pensai d'abord qu'il faisait allusion au sexe, mais je n'en étais pas certaine. En faite il était une sorte de dealer, c'était dingue tout de même qu'un mec comme ça puisse bosser ici sans qu'on lui demande de rendre de compte, ou peut-être en rendait et que le centre s'en foutait. Je changeai radicalement de conversation en lui affirmant que je ne voulais pas que sa femme soit au courant de notre aventure, je voulais pas devenir la victime d'une femme mariée, c'était déjà suffisament dur de vivre ici alors si en plus j'avais quelqu'un qui se chargeait de me rendre la vie encore plus difficile j'allais finir pendu. Mike balaya ma question d'un geste de la main, j'eus l'impression qu'il s'en foutait un peu mais bon comme il me répondit qu'elle n'en serait rien je le crus. Après mettre rendu compte que même si sa allait plus loin entre lui rien ne serais possible entre nous, c'était la dur réalité, il était marié, j'étais mineure, je me rendis compte que aillant raté un repas j'avais la dalle!

Bordel j'ai la dalle, je suis supposé être encore en isolement, tu crois que ça craint si je demande à une infirmière pour prendre mon repas?

Il me répondit qu'il ne devrait pas y avoir de problèmes mais qu'il avait une meilleure idée, il me regarda un instant d'un regard transperçant, puis il ouvrit la bouche certainement pour me faire part de son idée, mais je lui coupa la parole en l'embrassant presque amoureusement, je ne savait pas moi même si ce geste avait était calculer, mais je crois que j'en avais envie et que j'ai agis sans même m'en rendre compte, en éloignant légèrement mon visage du sien je lui murmurai que lui aussi me plaisait. Il me répondit par un sourire plein de charme, il était vraiment sexy, il glissa ensuite sa main dans mes cheveux, j'aimais bien ses petites attentions, j'avais l'impression d'être une princesse, jamais personne n'avait agit comme ça avec moi, c'était vraiment cool! Il me demanda ce que je voulais manger, je le regardai un peu étonnée, ici on avait pas trop le choix, on mangeait le plas du jour que ça nous plaise ou pas.

Comment ça qu'est ce que je veux manger? On a pas franchement le choix du menus ici. lui répondis je.

Ça te brancherais une petite sortie. Là, maintenant ? Nous sommes vendredi justement et je crois que t'a le droit à une petite gâterie non ???

Un sourire illumina mon visage, sortir manger dehors ça serait super, surtout avec Mike, ça serait comme une sortie en couple, wouaw ça allait vraiment être super, mais je me demandais bien comment il allait s'y prendre, je ne voulait pas faire le mur, si jamais le centre se rendait compte que j'étais parti sans leur consentement j'allais passer un mois au trou et là y aura pas de Mike pour me faire passer le temps... Mon sourire s'effaça donc petit à petit.

T'en fait pas, le Directeur est un de mes bons potes. Je peux faire un peu ce que je veux entre ces murs. Tant que je lui rendent des comptes. Y à pas de problème et puis, tu seras entre bonne main. Entre excellente mains.

Mon sourire revint.

Bon dans ce cas on y va!, dis je pleine d'entrain.

Je bondit prête à partir, Mike enfila sa veste et utilisa son téléphone certainement pour demander au directeur, j'espérai qu'il allait accepter.

Avant par contre, nous devrions au moins nous laver pour que nous soyons ... sortable. Alors, nous allons faire une petite escapade.

A ce moment il reçu un message qui lui décrocha un léger sourire avant de lever les yeux vers moi, je me demandai où nous allons aller, et si la destination de otre escapade était chez lui. Il reprit la parole, il voulait voir ce que j'avais à me mettre sur le dos pour une soirée tranquille, je lui montrai le peu d'affaire que j'avais, il y avait rien de super jolie pour une sortie à deux, j'étais toujours au centre donc bon j'avais pas besoin de belles fringues.

Tu serais magnifique dans une petite robe rouge avec ... un déshabiller tout noir... me dit il en me déshabillant des yeux, sans doute m'imaginait il dans cette tenue que je n'avais pas.

Peut-être mais j'ai rien de tout ça... lui dis je un peu déçu.

Je m'assis de nouveau sur mon lit, avant de lui demander où allait nous mener notre escapade.

// je déduis que notre escapade va se faire chez toi et que tu va me faire porter un truc à ta femme, après peut-être que j'ai rien compris et que je suis à l'ouest donc si c'est le cas dis le moi et j'édite//

Il me répondit qu'on allait faire un petit détour par chez lui, j'en déduis que sa femme ne devait pas y être donc je ne lui posai pas la question. Je me levai et enfilai une veste en jeans, Mike prit sa mallette et jeta un oeil dans le couloir, il me fit signe de le suivre, durant le chemin il dût agir de façon détaché, et fit croire aux gens qu'il m'emmenait voir le directeur, forcement il allait pas leur dire qu'on allait se faire une bouffe. Nous prîmes un chemin que je ne connaissais pas, et nous sortîmes par une issue de secours, j'étais excitée, j'avais jamais vraiment eu de rencard. Nous grimpâmes dans sa voiture.

Ou est ce qu'on va manger?

Je mourrais de faim, durant le chemin je le questionnais un peu , lui demandant si il avait des enfants, s'il avait toujours vécu ici. Nous arrivâmes chez lui rapidement , lorsque je pénétrai dans sa demeure j'observai tout, c'était jolie et moderne, je marchais lentement histoire de tout inspecter, je tomba sur une photo de sa femme, elle était jolie, plus que moi.Mike me désigna la salle de bain et me sortie une serviette, c'était drôlement classe chez lui, je pris donc ma douche rapidement, c'était mon ventre qui m'ordonnait de me dépêcher, quand je sortis de la salle de bain Mike m'appela, je le rejoins dans la chambre une serviette autour de la taille et les cheveux attaché par une pince, il avait posé une robe rouge et un déshabillé noir et une trousse à maquillage sur le lit, je compris alors qu'il m'avait imaginé avec les fringues à sa femme, il me proposa d'enfiler ça pendant qu'il allait prendre sa douche.

J'vais pas porter ça, c'est à ta femme!

Pour moi il était hors de question que je portes les habilles de sa femme, d'abords parce que c'est à sa femme ensuite parce que j'aurais l'air d'avoir au moins 30 ans avec ça sur le dos. Mais l'homme marié ne me laissa pas trop le choix, se montrant froid, je dirais même glacial, je décidai donc d'essayer la tenue pendant qu'il partait se laver. J'enfilai donc le déshabillé et la robe rouge et me regardai dans le grand miroir de l'armoire, je me sentais pas trop à l'aise et je me sentais plus vieille, mais ça avait un coté positif, je semblais plus mure et sexy, je pris donc la trousse à maquillage et mis un peu de fond de teint juste assez pour couvrir les marques de notre ébat de plus tôt, je soulignai mes yeux vert d'un trait de crayon noir et allongea mes cils avec un mascara noir aussi, puis je colorai mes lèvres charnues d'un rouge assorti à ma robe, je détachai mes long cheveux blond qui après avoir était lavé était volumineux à souhait, lorsque je regardai le résultat dans le miroir je me surpris moi même, on aurait dit une autre personne, je me trouvais magnifique, classe et sexy à la fois, un genre de femme fatale, manquais plus que les chaussures. Mike entra dans la chambre une serviette noué autour de la taille.

Alors comment tu me trouves? lui demandais je, ça fait pas trop? lui dis je en souriant.

J'attendis sa réponse, mais pour moi j'étais parfaite, même si je n'étais pas forcément à l'aise dans tout ça, je me croyais dans un conte du style cendrillon, et quelle chance sa femme faisait presque ma taille.

// si ça va pas dit moi je change//

Avec une petite moue boudeuse, elle m'affirma bien ce que je croyais ...

Peut-être mais j'ai rien de tout ça...

Elle s'assied de nouveau sur son lit en baragouinant un truc auquel je ne fis aucunement attention, (Quand tu dis que ton personnage me demande quelque chose, pourrais tu l'écrire comme si tu me parlais normalement svp, je deviens tout mêler dans tout ça ... Merci !!!) ensuite, elle se releva prestement pour enfiler une veste en jeans. Je lui admirais le cul amplement. Me relevant ensuite, j'allais jeter un coup d'oeil dans le corridor. Personne réellement en vue. Ouvrant la porte, je fis un petit signe à Elena suivit d'un petit sourire tout a fait conspirateur. Je connaissais bien cet asile pour en avoir fait le tour des milliers de fois. Je connaissais toute les faiblesses dans le système de sécurité et de surveillance. Donc, il était plutôt facile pour moi de m'en évader à ma guise avec certaine .... proie. Ce que j'avais fait à maintes reprises depuis quelques années. Enfin, de façon tout à fait détachée et ordinaire, j'emmenais Elena en direction de la sortie. Personne ne nous portais réellement attention car, j'empruntais le chemin pour le bureau du directeur. Mais, personne ne se doutais réellement de où nous allions en réalité. Arrivant près de la sortie de secours en question, j'attrapais la main à Elena tout en ouvrant la porte. Étrangement, aucun système d'alarme ne retentit. Un petit sourire espiègle sur les lèvres, je l'emmenais avec moi vers mon camion. Elle me demanda toute excitée.

Ou est ce qu'on va manger?

Je me retournais vers elle tout en démarrant et répondit avec un petit clin d'oeil.

Ça te dirais un cheeseburger bien juteux avec une bonne assiette de frite et un grand verre de Coca bien froid ?

Elle en sembla toute emballée. Je rigolais un peu. Nous parlâmes ensuite de tout et de rien. Enfin, elle parlait et je répondais presque par des monosyllabes. C'était à croire qu'elle aimait bien le son de sa voix. Arrivant chez moi, j'entrais avec Elena, elle buvait tout du regard. Mon décor, mes meubles, ma maison... Elle marchait lentement pour être sur de rien manquer. Étrange. Comme si jamais elle avait sortie de l'asile. Je trouvais la situation plutôt comique. Enlevant ma veste de cuir, je la jetait négligemment sur un tabouret puis, j'indiquais ensuite la salle de bain à Miss Elena et lui sortie une serviette. Elle y entra sans mot dire. Moi, je me dirigeais vers ma chambre et celle de ma femme pour sortir exactement les vêtements auquel j'avais penser un peu plus tôt. C'était sans dire que ma femme prenait plaisir à dépenser de grand montant d'argent dans des tenues que jamais elle ne porterait. Moi, personnellement, je m'en foutais car, je trouvais d'autre mannequin pour exhiber les tenues. J'étendis alors sur mon lit la fameuse robe satinée rouge. C'était une robe moulante qui allait frôler les chevilles d'Elena mais, la robe était fendue sur le côté jusque dans le haut de la cuisse. Très sexy comme robe avec un décolleté plongeant. Ensuite, je sortis un déshabiller tout noir, encore une fois, neuf. Plaçant tout sur le lit. Je me pris ensuite un costard bien propre. Entendant la porte de la salle de bain refermer, j'appelais la petite.

ELENA !!!

Elle entra ensuite dans ma chambre avec un petit air timide. Une serviette autour du corps comme simple vêtement.

Tu va mettre tout ça pendant que je vais me laver.

Elle protesta hautement.

J'vais pas porter ça, c'est à ta femme!

Je lui lançais un regard glacial et je lui enjoignait d'une voix encore plus froide tout en appuyant sur chaque mot.

Tu ... va ... mettre ... ça ...

Son regard dévia rapidement vers le plancher. Détournant la tête, je m'éloignais vers la salle de bain. Me lavant bien lentement et relaxant sous l'eau chaude, je me demandais bien ce que je devais faire de cette fillette en réalité. Je savais bien qu'elle n'était pas majeur mais, presque et encore une fois, je m'en foutais royalement. C'était une folle et elle adorait ce faire baiser comme tel. Quoi demander de plus. Elle était tellement naïve et pitoyable. Je pourrais m'amuser infiniment avec elle, tant que je lui ferait miroiter quelques jolis cadeaux sous les yeux elle m'appartiendrait totalement. Sortant de la douche, je m'essuyait et enfilais mon peignoir. Retournant à ma chambre bien lentement. Je n'entendais plus rien. J'ouvris alors la porte doucement et jetais un coup d'oeil à l'intérieur. Je restais figé quand je vis Elena se regarder sous toute les coutures dans le miroir. Elle était simplement .... magnifique. Sifflant d'admiration, je la fit sursauter. M'introduisant dans la chambre, je la mangeais littéralement du regard de haut en bas.

Alors comment tu me trouves? ça fait pas trop?

Me dit-elle toute souriante. Ayant un sourire en coin, j'approchais d'elle doucement tout en inclinant légèrement la tête sur le côté pour avoir un meilleur angle. Plissant les yeux, je la repoussait rapidement jusqu'au lit et me penchais vers elle pour l'embrasser langoureusement. Me relevant avec un demi sourire, je soufflais.

Simplement ... magnifique.

Je vis ensuite que derrière son sourire et son petit air de princesse, elle semblait quand même mal à l'aise. Je lui lançai d'un air tout à fait détacher tout en sachant ce qu'elle avait.

T'en fait pas avec ça ... C'est à ma femme mais, faut que tu sache qu'elle n'en à jamais profiter. En fait, elle achète tout simplement pour ... acheter tout. T'es la première à avoir cette robe sur le corps. Si tu la veut, je te l'offre en cadeau. Après tout, c'est moi qui l'ai payer non ?

Son visage rayonna d'un sourire ravageur de fillette. Je haussais simplement le coin de mes lèvres et d'un air tout à fait détacher et indifférent, je laissais tomber la serviette par terre puis, j'enfilais mon costard. Elle m'observait d'une bien drôle de façon tout le long. Je faisais exprès pour faire jouer tout les muscles de mon corps tout en m'habillant d'un air naturel. Je ne mis pas de cravate et je laissais ma chemise détaché de quelques boutons. J'aimais bien le look luxueux et décontracté à la fois. Me retournant vers elle avec un petit sourire en coin, je haussais un sourcil et dit.

C'était une blague pour le cheeseburger en passant mais, j'ai la petite idée de où nous allons et ... se sera une surprise pour toi.

Je fis le mouvement de sortir de la chambre mais, au dernier moment, je me révisais et retournais. Baissant les yeux, je regardais les pieds d'Elena. Elle fit jouer ses orteils en lâchant un petit rire.

Là, je crois que t'a un petit problème ...

Je désignais l'énorme garde robe. Je savais fortement qu'elle y trouverait exactement ce qu'elle voulait derrière. Retombant sur le lit, je lui lançait.

Bon ... fait comme chez toi ... je vais t'attendre ... ici.

Avec un sourire de petite fille, elle voleta jusque dans la pièce. Je la perdit de vue pendant quelques secondes et ensuite, surprise, elle se mit à défiler devant moi avec plusieurs chaussures, talons aiguille et tout le tra la la de femme. Me rinçant les yeux à qui mieux mieux je marmonnais une réponse à chaque fois que je la voyait apparaître avec une nouvelle paire d'escarpin.

Prend ceux que tu veux et déguerpissons beauté ... avant que je te viole à nouveau ...

Elle fila une dernière fois vers la penderie puis en ressortis quelques instant plus tard avec une paire de talon aiguille très beau qui lui galbait les mollets à souhait. Je lui prit la main pour la faire passer devant moi et lui claquait une fesse par la même occasion tout en disant.

Tu m'aide pas du tout à pas me concentrer sur ton jolie petit cul ... tu le sais ça ?

Je la repoussait ensuite jusqu'à la sortie de la maison et nous embarquâmes à nouveau dans mon camion. Le trajet se fit plutôt silencieusement. Roulant jusqu'en bordure de la ville, je me stationnais devant un établissement plutôt luxueux où il y avait de nombreuses voitures encore plus luxueuse les unes que les autres. Je débarquais de mon côté et je vis qu'Elena admirait l'endroit. Allant ouvrir sa portière, je lui tendit la main tout en disant.

Mademoiselle... Veuillez bien me suivre ...

Elle descendit ensuite et je lui fit signe de me prendre le bras. Plongeant les yeux dans son décolleté magnifique. Nous entrâmes ensuite dans l'endroit d'une démarche plutôt lente. Regardant la demoiselle à l'entrée, je lui ordonnait simplement et froidement.

Une table pour deux dans un endroit tranquille svp.

Elle me fit un petit signe de tête avec un charmant sourire. Je lui enjoignait un petit clin d'oeil prometteur puis, nous la suivîmes jusqu'en retrait où il y avait justement une table simple, toute seule. Je fis allumer le chandelier et tirais la chaise à Elena, je m'assied ensuite tout en me raclant légèrement la gorge. La serveuse déguerpit pour l'instant. Levant les yeux vers Elena, je lui demandait.

Alors, ma douce, est-ce que l'endroit te plaît ? T'inquiète, prend ce que tu désire. Tu peux même prendre un coup. Mais, je t'avertis, ils ne servent que du vins et du champagne d'excellente qualité en cet endroit...

Elle était toute émerveillée. Je lui retournais un petit clin d'oeil. J'étais parfaitement habituer à rendre les femmes folles dans ce genre. Je savais quoi faire pour la plupart pour qu'elle soit totalement accroc.

(Tu peux poster soit, à l'Amadeus, soit dans un autre endroit de ton choix, à toi de voir !!!)

Rendez vous au resto' de l'hotel Hilton :

https://asylum-valley.forumactif.org/t282-une-soiree-magique-mike#2779