Gabriel Riordan


War does not determine who is right-only who is left

This is the story of my life

Je m'apelle Gabriel Riordon, je suis né le 12 octobre de l'an 1968 à Sydney en Australie. Ma mère était une australienne de souche, mais mon père un irlandais qui avait immigré là-bas dans sa jeunesse.Je n'ai pas de fait saillant à raconter sur mon enfance, on était une famille moyenne, on vivait aisément. J'étais pas le meilleur à l'école ni le plus nul, je ne pratiquais aucun sport en dehors de l'entrainement en salle de gym trois soir semaine où je m'abimais les jointures sur un sac de sable pour éviter de le faire sur les gens qui passent. J'étais pas un jeune particulièrement violent, mais assez jaloux, d'une seul personne en fait... Mon frère Raphaël. Ma mère avait cette espèce d'obsession pour les prénoms d'ange. Elle croyait qu'en nous donnant ces noms là, nous allions devenir de vrai petit ange. J'allais pas exactement où mes parents aspiraient que j'aille, mais Raph' lui ... L'enfant prodige au bonne note, toujours parfait... Y en avait que pour lui. Comme il était seulement 1 an plus jeune que moi, nous fesions les mêmes écoles en même temps au rencontre de parent c'était toujours pareille. "Mme.Riordon... Si Gabriel pouvait prendre exemple sur Raphaël ce serait tellement plus agréable..." foutaise. Raph' était qu'une petite frappe arrogant et ignard. Il payait les autres pour faire ses travaux et le couvrir pendant qu'il séchait les cours à aller s'envoyer des nénettes sous le pont du village. Il se marrait bien de ma gueule st'enfoiré. Y me restait plus qu'un an avant de foutre le camp à l'université. J'avais pas été admis à Harvard comme l'aurait voulu mes vieux, mais Princeton c'était vachement bien quand même. Le coup d'éclat fut un soir à table... Mon père nous regarda mon frère et moi à tour de rôle et il sortit la dernière phrase que je l'eus entendu dire. "Étant donné que Gabriel excelle un peu moins dans les études et que les temps financier ne sont plus ce qu'ils ont été, nous avons décidé de ne pas envoyé Gabriel à l'Université et garder cet argent pour y envoyer Raphaël... Mais t'en fait pas Gabriel, nous ne t'en voulons pas et tu pourras venir travailler avec moi à l'usine je suis sur que tu adoreras..." C'est à ce moment que je me levai de la table et que je montai à ma chambre. Je ramassai un minimum de vêtement et le peu de fric que je m'étais ramassé en boulot d'été, je sorti en claquant la porte dans l'écho de mon nom que la voix de ma mère avait crée. C'était le début de ma vie un soir d'Août 1984. Sans regarder derrière et en errant ici et là j'avais réussi à rejoindre la côte. J'avais monté un bateau monstre pour qu'on m'engage dans les marines, j'avais du leur mentir sur mon Âge, leur dire que j'avais 18 ans au lieu de 16, mais j'avais la taille et le poids d'un homme. Au cours des dix années à suivre, je vus des gens mourir, des compagnons d'armes crever d'en d'atroce souffrance, des bombes qui tombent comme la pluie au printemps, des femmes et des enfants violé et démembré et en 10 ans je reçu une seul lettre alors que j'en envoyais toute les semaines les 3 premières années. Le 12 novembre 1994, la journée de mes 26 ans. Je reçu une lettre avec une vieille boite de chaussure qui contenait tout les lettres que j'avais envoyé, qui n'avait jamais été ouverte. La lettre disait simplement : "J'espère que t'es heureux dans ton monde mon frère, j'espère que papa et maman veille sur toi... J'ai trouvé la force de te pardonner que, maintenant. Papa est devenu fou après ton départ, il c'est mis à boire et il tapait sur maman, j'ai du quitter avec les services sociaux à 17 ans et l'an d'après ils c'étaient tué dans un accident de voiture parce qu'il était trop saoul.Je savais pas où t'étais... J'ai jamais lu tes lettres et je veux pas les lires. Prends soin de toi. " C'était signé Raphaël. Ce fut l'élément déclencheur de ma violence. Je gardai sa lettre dans la poche intérieur de ma veste contre mon coeur et je ne parlais à personne... En fait y avait que Jeffrey avec qui je parlais un peu, mais très peu. À la veille de mes 30 ans, on me remercia, me remis la fameuse médaille et on me demanda de quitter le navire. J'avais la petit vie parfaitement Américaine de payé par le gouvernement pour me remercier de mes services. Je demandai donc de me débarquer dans le Kentucky, là d'où venait la lettre de mon frère, mais sans adresse fixe. Je me mis à galérer sévère, me battre dans les bars, toujours à chercher mon frère, mais à ne jamais le trouver. Je décidai finalement d'entrer dans la police dans la ville de Louisville, mais après une série d'examen médico-légal, on m'accorda le poste seulement si je conscentais à faire des sessions chez le psychologue au centre Heiser, pour calmer mon trouble de violence compulsif qui disent. Donc voilà Je suis Gabriel Riordon,ancien caporal dans la U.S Navy. J'ai 43 ans et je suis maintenant flic avec une case en moins dans la ville que tout le monde appel ... La vallée des cinglés .

In Your Head & When I look at you

Physique:1m89, 90 kilo, j'ai pas vraiment la gueule du mec qu'on arrête pour dire qu'il ressemble à tel ou tel personne. Je me tiens en forme, j'fais pas trop mon âge, mais j'irais pas jusqu'à dire que je peux m'incruster dans les gangs de la jeune vingtaine.J'ai pas le physique le plus commode pour inviter les gens à venir me voir, militaire et flic... métier oblige, mais c'est aussi ce que je dégage. Je suis assez nerveux et prompt. J'ai pas le sourire facile.

Caractère:J'ai un bon caractère... de merde. Je suis très attaché aux valeur et traditions et aussi très attaché à la navy. Je voudrais retrouver mon frère, mais c'est vraiment pas gagné d'avance. Je suis batailleur, fêtard, mais je sais être sérieux quand c'est le temps. On ne me marche pas sur les pieds et comme on dit quand j'ai une idée dans la tête, je l'ai pas dans le cul.